Ils sont bien loin de constituer un grand remplacement, ainsi que le proclame un ministre de l’actuel gouvernement Meloni : les étrangers ne sont pas en train de se substituer aux Italiens. Ils ne prennent pas leur place. Au contraire, sans eux, l’Italie serait plus pauvre, plus endettée, encore plus âgée qu’elle ne l’est aujourd’hui. Et nous ne saurions pas comment payer les retraites. Voici, sans ambages, tous les chiffres qui le prouvent et pourquoi une nouvelle loi sur l’acquisition de la nationalité est nécessaire.
Un film, sorti en Italie en 2011, expliquait déjà bien à l’époque l’imaginaire absurde qui habitait l’esprit de nombreux Italiens. Une comédie, par moments tragi-comique, intitulée Cose dell’altro mondo de Francesco Patierno...