À Sant’Andrea del Monte, un petit village de Calabre, une jeune femme qui a collaboré avec la justice en dénonçant sa famille mafieuse est retrouvée noyée dans sa baignoire. Elle a ingéré de l’acide  chlorhydrique : une mort atroce qui évoque une exécution plutôt qu’un suicide. Son père, Don Alfredo, est l’un des boss les plus puissants du Bunker, l’organisation criminelle qui domine le trafic de cocaïne en Europe.
À Zurich, Giulia, la petite-fille de Don Alfredo, pensionnaire d’une luxueuse école privée, tombe amoureuse de Lorenzo. Il est jeune, journaliste, et sa mère a autrefois été tuée dans un attentat qui visait son père, procureur en lutte contre… le Bunker.
Giulia ignore tout des activités mafieuses de sa famille. Et alors que Lorenzo, qui mène l’enquête, s’apprête à lui en révéler le vrai visage, il est victime d’une terrible agression.
Jamais les liens du sang n’ont aussi bien porté leur nom. Dans un monde où les traditions séculaires de l’honneur couvrent les luttes de pouvoir, Giulia et Lorenzo pourront-ils échapper aux lois non écrites de leurs familles que tout oppose ?

Les Liens du silence, véritable drame shakespearien au suspense redoutable, démonte la mécanique complexe d’un système mafieux et nous plonge dans la furie d’une guerre entre deux familles dont les enfants luttent héroïquement contre la fatalité de leur destin


 

Gilda Piersanti est née en Italie quand les sixties n’étaient pas les sixties, non loin de la villa d’Hadrien, elle a grandi à Rome et nourri une passion précoce pour la Ville éternelle. Philosophe, critique littéraire, traductrice, elle est l’auteur de romans noirs.

Pages : 384
Format : 15 x 24 cm
Prix : 19 €
Editions Le Passage