Cela se passe en Italie. À une époque de crise profonde et de virtualité excessive dans les rapports, voici que revient l’envie de connaître ses voisins , de connaître « quelqu’un à qui demander du sel, tout simplement ».Les social street se veulent un réseau de voisinage qui solidarise. Il y en a 165 en Italie, du Nord au Sud, et le phénomène fait désormais tache d’huile.